Pénélope Leprévost : « Un an de plus, c’est tout bénéfique pour elle et les chevaux « 

Bonjours, bienvenue sur mon blog, qui porte sur le monde de l’équitation de haut niveau de la cavalière Pénélope Leprevost, qui bénéficie d’un ans de plus pour ce préparer elle est les chevaux

Pénélope Leprévost:


Pénélope Leprévost est une cavalière française.

Pénélope Leprévost

Elle est née en 1980. Elle a donc aujourd’hui 40 ans.

Elle est cavalière professionnelle depuis 1998.

Sa discipline est le CSO (Concours de saut d’obstacle).

Cette discipline consiste à réaliser à cheval un parcours d’obstacles le plus vite possible

et sans faire tomber de barre d’obstacles.

Dans cette discipline, Pénélope Leprévost multiplie des très bons résultats au niveau national et international.

Elle a été deux fois championne de France.

Vice- championne du monde par équipe aux jeux équestres mondiaux de Lexington (Etats-Unis) en 2010 et de Caen (France) en 2014.

Enfin, elle a eu la médaille d’or olympique par équipe en 2016 à Rio (équipe de 4 cavaliers).

Championne olympique en titre du saut d’obstacles par équipes, la cavalière normande Pénélope Leprévost a participé à la qualification de la formation française pour les Jeux de Tokyo. Pour elle, le report d’un an représente avant tout l’opportunité de bien préparer ses chevaux et de se donner encore plus de choix au moment d’aller défendre ses chances dans la capitale japonaise.

Dès lors, dans ses écuries de Lécaude en Normandie, Pénélope Leprévost prépare sa monture pour les Jeux, sa troisième participation personnelle à l’évènement sportif planétaire. Elle s’y dirige en confiance. « Vancouver est encore jeune, mais il a fait un championnat d’Europe extraordinaire. Il arrivait juste à maturité. Comme tous les sportifs, ils ne peuvent pas sauter tous les week-ends. Pour bien le préserver, j’avais fait le choix de le mettre en vacances depuis décembre 2019 jusqu’à mars 2020. J’avais prévu un programme très précis pour le remettre en route. Le premier concours auquel nous avons participé, en mars, nous l’avons gagné. C’était le rêve. Je me suis alors dit ‘le cheval est prêt, tous les voyants sont au vert’ et là, avec le confinement, il a fallu l’arrêter à nouveau. Bref, en huit mois, mon étalon a disputé un concours et il l’a gagné ».

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